Bebe . quand j’etais roi, j’ donnerais l’empire , ainsi, le char , et mon sceptre , et notre peuple a genoux Et ma couronne d’or , et les bains pour porphyre , ainsi, faire mes flottes, a , lequel Notre mer ne va suffire, Afin de Le regard de vous !

Trop j’etais Dieu, votre terre et l’air avec les ondes, vos anges, les demons courbes sur ma loi , Et Notre profond chaos aux entrailles fecondes, L’eternite, l’espace , ainsi, vos cieux , ainsi, nos mondes, Afin de votre baiser pour toi .

Victor Hugo , Nos feuilles d’automne

58 anecdotes Avec “A 1 femme”

robert

Salut, je chope que Le poeme est mon recit contant le fait qu’il pourrait pres pour tout donner pour etre avec Grace a votre cousine et je trouve Alors cette raison ceci particulierement touchant.

rajana

Franchement parler, ce tres chere Victor vous etes imbattable au domaine de la poesie. Ces mots sont magic et touchant car en nos parcourant j’ai i  chaque fois vos larmes du jambes. Ce poeme j’ l’adore, trop meme.

Jouda

Fagino Alain

Afin de arriver a produire de tels vers, c’est d’abord l’apprentissage de la vie d’apres votre serviteur qui patine l’ame caressee avec des jolies lignes deja ecrites de les auteurs et Notre petit comburant magique Avec nos yeux , lequel font que cette alchimie eclate du amour. Continue reading →